PROCHAINES DATES EN TOURNEE
Décembre 1884. Paul Lanzky, un admirateur des écrits de Friedrich Nietzsche a rendez-vous avec celui qu’il considère comme un « maître » à penser. Nietzsche l’a convié à gravir le sentier allant de la gare d’Eze sur mer au village perché sur son éperon rocheux. Il s’agit du chemin qui lui a inspiré la troisième partie de son ouvrage Ainsi parlait Zarathoustra.
Paul Lanzky peine à s’abandonner à la joie et à la vie que revendique Nietzsche. Quelque chose l’appelle toutefois dans les propos prophétiques de Zarathoustra. Il entend bien décrypter l’ouvrage à la lueur des explications de son auteur. Une amitié éphémère se noue au fil de la marche. Le vrai visage de Nietzsche se révèle peu à peu.
La solitude, les souffrances physiques qui l’habitent, mais aussi son goût pour les nourritures simples de la vie. Paul Lanzky apprend peu à peu à savourer l’expérience de l’existence. Le Théâtre d’Aether convie les amoureux de la philosophie et de la marche à pied à une balade théâtralisée sur les traces de Zarathoustra, allant du début sentier Nietzsche au vieux village d’Eze.
AINSI SE PROMENAIT NIETZSCHE
Mise en scène : Rowena Cociuban
Écriture :
Frédéric Rey & Rowena Cociuban
avec Frédéric Rey & Guillaume Ellena
Production
Prochaine date :
En 1861, un gentilhomme anglais, Thomas Coventry, persuada la municipalité niçoise de tirer un coup de canon depuis la colline du Château pour marquer l’heure méridienne exacte. La légende dit que ce gentleman souhaitait rappeler l’heure du déjeuner à son épouse qui tardait à rentrer de sa promenade matinale, charmée par notre Baie des Anges et très bavarde…
Mais la réalité est bien différente. Thomas Coventry était passionné par les outils de mesure du temps. Il fit hisser un globe rouge à un mât sur le toit de l’hôtel Chauvain où il résidait, pour indiquer à l’artificier posté au château qu’il devait se préparer à tirer le canon de midi. Le 21 décembre 1863, le canon tonna ainsi pour la première fois
Parti de Venise en l’an de grâce 1271, en compagnie de son père et de son oncle, Marco Polo, marchand de son état, chemine de la Terre Sainte à la Perse en passant par le Tibet et la Chine pour combler les attentes de
l’empereur mongol Kubilaï Khan. Sur la route, il décrit les coutumes qu’il observe et nous relate ses aventures rocambolesques. Pourchassé par le cruel Achmat, un méchant digne des contes de fées orientaux et aidé par une jeune mongole dans son périple, Le Merveilleux voyage de Marco Polo, nous transporte sur la route du plus grand voyageur de tous les temps. Humour, aventure, chamanisme, dialogue entre les cultures, tolérance sont au cœur de cette comédie épique qui ne se prive pas de clins d’oeil au monde contemporain.
RECONSTITUTION DU TIR TRADITIONNEL DU CANON DE MIDI
Mise en scène : Rowena Cociuban
Écriture :
Frédéric Rey & Rowena Cociuban
avec Rowena Cociuban, Philippe Arnello & Frédéric Rey
Production
& Azur fête
commande de la Ville de Nice
Prochaines dates :
LE MERVEILLEUX VOYAGE DE MARCO POLO
Ecriture collective
Mise en scène : Frédéric Rey
Collaboration artistique : Nùria Espinosa
Costumes : Opéra de Nice
Masques : Carlo Setti & Cécile Welger
Avec : Francesca Frassanito,Vannina Strobino, Guillaume Ellena, Manon Ugo, Alessio Vercelli & Frédéric Rey
Production
Les membres de la terrible bande anarchiste du début du XXe siècle se sont vus confier les préparatifs de la célébration du 60e anniversaire de la disparition d'un certain Boris Vian. Il n'est pas question de décevoir les invités, car il faut que "chez Satan, ce soit épatant". La bande à Bonnot s'active pour interpréter, avec une panoplie d'instruments, les plus grands "tubes" de celui qui se faisait aussi appeler Vernon Sullivan ou Bison Ravi. C'est également un prétexte pour se retrouver et causer à bâtons rompus de l'actualité politique de ce début de XXIe siècle. Du Tango des joyeux bouchers à On est pas là pour se faire engueuler, en passant par J'suis snob, Fais-moi mal Johnny, Le déserteur ou La complainte de Bonnot, le répertoire de Boris Vian est mis à l'honneur par quatre "lascars" au destin sulfureux et au caractère trempé dans l'acier.
"En 1954, mon grand-père Henri-François Rey écrivait avec Boris Vian "La Bande à Bonnot" une pièce de théâtre musical. Le spectacle fut censuré parce qu'il réhabilitait sur un ton satirique les aventures de Jules Bonnot et de ses compagnons". Frédéric Rey
LA BANDE A BONNOT CHANTE BORIS VIAN
au cabaret des enfers
Ecriture & mise en scène : Frédéric Rey
Assistant : Quentin Richard
Avec : Plume, Isabelle Tosi, Stéphane Bébert, Quentin Richard & Florent Bonetto
Production
En cet été 1543, la vie est tranquille pour les pécheurs niçois, quand tout à coup des centaines de galères turques apparaissent à l’horizon... Le Roi de France et son allié le sultan des Ottomans attaquent le Comté de Nice pour l’arracher aux mains du Duc de Savoie ! N’écoutant que son courage, une simple lavandière que tout le monde appelle la «Maufacha», mais que l’histoire retiendra sous le nom de Catherine Ségurane, s’empare d’un battoir et se met en tête de repousser les armées franco-turques. Une comédie haute en couleurs, dans la plus pure tradition du masque et de la commedia dell’arte, mettant en scène des « invités d’honneur » tels que François Ier, Jean-Baptiste Grimaldi, Soliman le Magnifique ou encore le terrible Barberousse... Avec la participation exceptionnelle de Catherine Ségurane, de son mari Carlou et du petit Pétou ! A déguster en famille avec un bout de pissaladière ou encore un bon pan bagnat !
CATARINA SEGURANA !
ou la véritable histoire du
siège de Nice
Mise en scène : Fréderic Rey
Écriture :
Sylviane Palomba, Frédéric Rey, Thomas Marenda & Pierre Petitfrère
Production